août 24, 2015
« Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse,
Oreiller de chair fraiche où l’on ne peut aimer,
Mais où la vie afflue et s’agite sans cesse,
Comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer »
« Rubens, river of forgetfulness, garden of laziness,
Pillow of fresh flesh where you can not love,
But where life seethes and surges endlessly,
Like the air in the sky and the sea in the sea »
(Baudelaire – Les Phares)